Grâce à leurs diverses propriétés, le potentiel des probiotiques est étudié dans le cadre aussi bien du traitement que de la prévention de diverses affections spécifiques. Cependant, les souches probiotiques sont nombreuses. Pour se retrouver dans cette jungle, voici une liste non exhaustive des probiotiques à favoriser dans des cas précis, appuyer sur la recherche scientifique actuelle :
Assimilation des nutriments : si les probiotiques jouent leurs rôles dans la digestion, ils le font également dans l’absorption et la production de nutriments essentiels. Ainsi, la recherche a pu rattacher le Bifidobacterium breve à une meilleure synthèse des vitamines K et D, le Bifidobacterium longum, de son côté, participe à la fabrication des vitamines du groupe B et stimule l’absorption du calcium tout comme le Lactobacillus acidophilus. Enfin, Streptococcus thermophilus semble améliorer la biodisponibilité des nutriments en général.
Le terme « psychobiotiques » est souvent utilisé pour décrire le potentiel des probiotiques sur le bien- être psychique. Les scientifiques accordent une attention sérieuse à cette voie, mettant en lumière certaines souches qui se démarquent. Parmi elles, on retrouve :
Enfin, la recherche se tourne aussi vers le mélange de différents probiotiques dans des complexes afin de maximiser leurs impacts sur certaines pathologies. Ainsi, la consommation de complexes de probiotiques est à l’étude pour accompagner un large panel de pathologies aussi bien psychiques (le trouble du spectre autistique, l’anorexie) ou physique (la constipation, les migraines) totalement différentes.