Voici plusieurs recettes à base de plantes pour arrêter de fumer naturellement grâce aux plantes
Si possible, et contrairement à d'autres substances, il vaut mieux arrêter brutalement le tabac, car seulement deux cigarettes par jour entretiennent la mémoire du corps. Mais préparez-vous psychologiquement à arrêter de fumer, au moins quinze jours avant de franchir le pas, par exemple, en notant dans un carnet vos motivations.
Cette tisane drainante et équilibrante pourra vous accompagner :
Plusieurs plantes peuvent vous aider à ralentir vos envies de cigarettes :
A faire soi-même : une décoction avec 1 cuillère à café de racine de valériane coupée :
Le kudzu est une plante d'origine asiatique. Depuis plus de 1 000 ans, les Chinois utilisent sa racine et ses feuilles pour favoriser le sevrage. C'est un allié complet : elle est adaptogène (permet l'adaptation de l'organisme face au stress), calmante, dépurative, cardio-protectrice, détoxicante, antioxydante et surtout, elle modère fortement l'effet de manque.
Posologie : prendre la poudre de racine sous forme de gélules, à raison de 1 à 2 grammes par jour (soit 2 à 8 gélules), avant le repas avec un verre d'eau. En cure de 3 mois, à renouveler si besoin.
L'effet secondaire le plus difficilement gérable lors de l'arrêt de la cigarette est le manque. Pour compenser cette sensation, plusieurs plantes peuvent être combinées selon vos besoins :
Le traitement pourra s'étendre sur toute la durée de votre sevrage, mais l'avis d'un praticien lors d'un sevrage est fortement recommandé.
Le sevrage s'accompagne parfois de toux, voire de bronchites. En effet, à l'arrêt du tabac, les poumons, libérés de l'invasion du goudron, pourront avoir tendance à expulser les matières de matière parfois forte ou anarchique. Il faut donc protéger la muqueuse quant on arrête de fumer. Pour cela je vous conseille un extrait de brocolis (Laboratoire Aérobiane par exemple).
Ainsi, si les plantes peuvent efficacement nous aider à modifier nos humeur et nos équilibres en neuromédiateurs, à contenir certaines de nos pulsions, elles devraient s'envisager comme des approches complémentaires à une remise en question plus large de nos pratiques et de nos pulsions. Mais elles peuvent s'articuler à des approches thérapeutiques plus individualisées.